salam alaykoum
Ibn al-Qayyim (rahimahullah) a dit :
وَنُنَزِّلُ مِنَ الْقُرْآنِ مَا هُوَ شِفَاء
« Nous faisons descendre du Coran, ce qui est une guérison. » (Coran, 17 :82).
Le particule « min » (مِنَ ) employé dans le verset a un sens partitif et vise à indiquer l’espèce.
Le Très Haut dit encore :
يَا أَيُّهَا النَّاسُ قَدْ جَاءتْكُم مَّوْعِظَةٌ مِّن رَّبِّكُمْ وَشِفَاء لِّمَا فِي الصُّدُورِ وَهُدًى وَرَحْمَةٌ لِّلْمُؤْمِنِينَ
«Ô gens! Une exhortation vous est venue, de votre Seigneur, une guérison de ce qui est dans les poitrines, un guide et une miséricorde pour les croyants. » (Coran, 10 : 57).
Le Coran est un remède parfait pour toutes les maladies du corps et du cœur (morales et spirituelles) ; les maladies d’ici-bas et celles de l’au-delà. Mais tout le monde n’est pas apte à en tirer profit. Si le patient sait bien en faire un usage curatif correct en l’employant avec une foi fondée sur un conviction profonde et avec le respect des conditions d’utilisation, sa maladie ne lui résistera jamais.
Comment les maladies pourraient-elles résister à la parole du Maître de la terre et des cieux qui, révélée sur les montagnes les pulvériserait ? Cette parole qui, jetée sur terre, la réduirait en morceaux ! ? ».
Zad al-M’aad, 4/352.